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Photo A.L.I.N. Tech
19 octobre 2010

Invention

INVENTION DE LA

PHOTOGRAPHIE

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Les deux phénomènes nécessaires à l'obtention d'images photographiques étaient pour certains connus depuis longtemps. Depuis Aristote, on savait mettre la réalité en boîte ; il suffit de percer un « petit trou » (sténopé) dans une chambre noire (camera obscura) pour voir apparaître une image inversée dans le fond blanc de la boîte. D'autre part, les alchimistes savaient que la lumière noircissait le chlorure d'argent. Vers 1780 Jacques Charles, plus connu pour son invention de l'aérostat gonflé à l'hydrogène, parvint à figer, mais de façon fugitive, une silhouette obtenue par le procédé de la chambre noire sur du papier imbibé de chlorure d'argent. Thomas Wedgwood (1771-1805) fit des expériences analogues avec le nitrate d'argent ; il en publia un mémoire en 1802. De son côté John Herschel en 1819 décrit les propriétés de l'hyposulfite de sodium qui deviendra le fixateur.

9nkpvdq4Joseph Nicéphore Niépce, un inventeur de Chalon-sur-Saône, associe ces trois procédés pour fixer des images (de qualité moyenne) sur des plaques d'étain recouvertes de bitume de Judée, sorte de goudron naturel qui possède la propriété de durcir à la lumière (1826 ou 1827) ; la première photographie représente une aile de sa propriété à Saint-Loup-de-Varennes (Saône-et-Loire). Ce cliché est visible à l'Université d'Austin au Texas depuis que Helmut Gernsheim en a fait don à cette institution, en 1963[2]. Si on regarde bien cette image, on remarque son éclairage particulier. En effet, la pose a duré de nombreuses heures (on estime la pose entre 14 et 18 heures) ; le soleil a donc éclairé le mur de droite puis celui de gauche plus tard dans la journée.

Nicéphore meurt en 1833 et Louis Jacques Mandé Daguerre poursuit l'amélioration du procédé. En découvrant le principe du développement de l'image latente, Daguerre trouve le moyen de raccourcir le temps de pose à quelques dizaines de minutes. En 1839, Il promeut son invention auprès du savant et député François Arago, qui lui accorde son soutien.

Ainsi, la date conventionnelle de l'invention de la photographie est 1839, c'est la date ch9ly2l5de la présentation par Arago à l'Académie des sciences de l'« invention » de Daguerre, le daguerréotype. C'est en fait une amélioration de l'invention de Niépce. L'État français l'acquiert contre une rente viagère annuelle de 6 000 francs à Daguerre et de 4 000 francs à Isidore Niépce, le fils de Nicéphore, puis en fait don « au monde ».

Grâce au daguerréotype, on obtient des images après « seulement » une demi-heure de pose (lorsque le ciel est parfaitement dégagé). Cette lenteur est quelque peu problématique : les rues de Paris, même à une heure d'affluence apparaissent totalement vides. Mais qu'importe, la photographie était inventée. La première photographie représentant des êtres humains sera réalisée un peu plus tard : un passant se fait cirer les chaussures par un cireur des rues, les deux personnages sont restés immobiles pendant plusieurs minutes.

Par la suite, la photographie évolue très vite. En effet, le résultat des recherches est acquis par l'État français et chacun peut très vite l'améliorer.

Les progrès suivent trois directions :

  • La réduction du temps de pose par augmentation :
    • de la sensibilité des surfaces sensibles,
    • de la luminosité des objectifs ;
  • L'amélioration de la stabilité du tirage ;
  • La simplification de l'utilisation des appareils, grâce à l'invention :
    • d'appareils de plus en plus légers et de moins en moins chers,
    • de préparations stables évitant les manipulations chimiques,
    • de l'introduction de l'informatique avec la numérisation de l'image, dite « photo numérique »
Découverte de la photosensibilité 1829

Daguerréotype : premier procédé photographique commercialisé, dans lequel une image est formée sur une plaque de cuivre plaquée d'argent, extrêmement polie, sensibilisée par des vapeurs d'iode pour former des iodures d'argent. Après exposition, l'image latente est développée aux vapeurs de mercure, ce qui donne une image unique sur métal qui ne peut pas être utilisée comme un négatif pour la duplication.

Image latente : image invisible produite par l'exposition à la lumière sur un matériau sensibilisé et qui devient visible par développement.

Au cours de l'été 1827, Niepce exposa une plaque d'étain enduite de bitume dans la camera obscura, dont il obtint, huit heures après, l'image d'un colombier.

Malgré l'utilisation de plaques d'argent ou de cuivre argenté à la place des anciennes en étain et le recours à l'iode pour accroître la sensibilité de l'argent à la lumière, il ne réussit pas à diminuer la durée de l'exposition nécessaire à l'obtention d'une image.

Il prit alors contact avec un fabricant parisien d’instruments d’optique, Vincent Chevalier, qui à son tour informa Daguerre.

Parallèlement, Daguerre cherchait à obtenir une image permanente dans la camera obscura, et c'est ainsi qu'il se mit en rapport avec Niepce.

La rencontre entre les deux hommes eut lieu, et un contrat fut signé deux ans plus tard pour poursuivre leurs recherches de façon commune.


Les expériences de Talbo (1833)

 

En 1833, William Fox Talbot débute une série d'expériences qui aboutiront en 1839 à la présentation d'une technique permettant d’obtenir une image sur papier par action de la lumière.
William Fox Talbot, Lacock Abbey, près de Chippenham, 1800 - id.1877, physicien britannique.

De 1835 à 1841, il mit au point la photographie avec négatif et sur papier (calotypie ou talbotypie). En 1851, il imagina un procédé de photographie instantané.
William Henry Fox Talbot imagina de réaliser une image permanente de ce qu'on pouvait voir dans la camera obscura; en moins de deux ans, il réussit à obtenir des images par l'action de la lumière sur du papier traité dans des bains alternés de chlorure de sodium et de nitrate d'argent.

Les premières images qu'il réalisa furent celles d'objets plats.

Talbot améliora la même année cette découverte en réalisant une image carrée négative en photographiant sa demeure ancestrale Lacock Abbey.

Elle fut obtenue en exposant du papier sensibilisé, pendant environ dix minutes à la lumière vive du soleil, dans un très petit appareil de prises de vues, à courte distance focale.

Pour stabiliser ces premières images, Talbot employa de l'iodure de potassium ou du sel, mais, au début de 1839, il eut recours à l'hyposulfite de soude sur le conseil de Herschel.

Talbot appela ces images "dessins photogéniques", et il proposa de corriger leurs inversions en posant une autre feuille de papier sensibilisé à l'argent contre l'image négative et en les exposant toutes deux à la lumière.

1ere photo positive sur papier -1839)

En 1833, Daguerre annonce le succès de son procédé de reproduction des images par l'action de la lumière sur une plaque de cuivre recouverte d'une couche d'argent.

L'image invisible apparaît après un développement chimique (=daguerréotype).
Après la mort de Niepce en 1833, Daguerre continua ses travaux à Paris avec des plaques d'argent iodés, abandonnant définitivement le bitume.

En 1835, il tomba sur le phénomène connu sous le nom de développement latent: le photographe n'a plus à attendre l'apparition de l'image sur la plaque pendant l'exposition, mais peut la faire venir par développement chimique - en l'occurrence, avec de la vapeur de mercure - ce qui permet de réduire radicalement la durée de l'exposition.

Un problème demeurait sans solution, celui de savoir comment arrêter l'action de la lumière sur les halogénures d'argent, action qui provoquait l'assombrissement de l'image jusqu'à son effacement; mais, en 1837, Daguerre trouva un moyen de la stopper avec un bain de chlorure de sodium.

En 1839 il apprit indirectement par leur découvreur, le savant anglais John Herschel, les propriétés de l'hyposulfite de soude, qui, par lavage, enlève les sels d'argent non exposés.

Le daguerréotype, ainsi qu'il baptisa son invention, était délicat - facilement abîmé par les marques de doigts et les variations hygrométriques - et devait donc être encadré sous-verre.

A la même époque, Hippolyte Bayard montra des images positives directes obtenues par action de la lumière sur un papier sensibilisé placé à l'intérieur de l'appareil de prise de vue.
Hippolyte Bayard, Breteuil, Oise, 1801 - Nemours 1887, photographe français.

En améliorant le procédé de Talbot, il obtint les premiers positifs directs sur papier (1839).

En 1839, Hippolyte Bayard, fonctionnaire français, présenta un procédé pour obtenir directement des images photographiques positives sur papier: il avait foncé une feuille de papier avec du chlorure d'argent et de l'iodure de potassium, sur laquelle la lumière agissait comme un décolorant lorsque la plaque était exposée dans l'appareil de prises de vues. L'invention de Bayard resta largement ignorée à l'époque en raison du soutien officiel apporté au daguerréotype.Pourtant, en France, certains photographes manifestèrent un vif intérêt pour un procédé sur papier de préférence au daguerréotype, et de cette manière les expériences continuèrent dans cette direction

1ere photo éclairés a la lumière électrique

En 1851, Talbot réalisa les premiers clichés éclairés à la lumière électrique.
Peu après l'invention de la photographie, l'éclairage artificiel fut au centre d'un autre ensemble d'expériences destinées à en élargir la portée.

En 1851, au moyen de piles électriques, Talbot réussit à réaliser une image lisible d'une pièce de rotative en révolution rapide; c'est aussi lui qui procura à Nadar l'éclairage artificiel dont il avait besoin pour ses expériences.

Invention du négatif

illiam Henry Fox Talbot (1800-1877) mène des recherches parallèles à celles de Niépce et Daguerre à partir de mty85yj71833. En 1840, il invente le « calotype », procédé négatif-positif qui permet la diffusion multiple des images. Suivent d’autres recherches, qui petit à petit permettent d’améliorer la qualité des images, la sensibilité des surfaces sensibles, et de simplifier la procédure de prise de vue ; 1847 « procédé à l’albumine » (Claude Félix Abel Niépce de Saint-Victor, cousin de Nicéphore), 1850 « procédé au collodion humide » et 1851 « ambrotypie » (Frederick Scott Archer), 1852 « ferrotypie » (Adolphe-Alexandre Martin). Félix Tournachon plus connu sous le nom de Nadar en fait une utilisation commerciale. Il réalise des portraits des personnalités de l'époque, et en 1858 il réalise à Bièvres la première photographie aérienne, prenant une vue de Paris depuis un aérostat.

Invention du film souple

Les premiers clichés (noir et blanc ou autochromes) étaient réalisés sur des plaques de verre, relativement encombrantes, lourdes et fragiles. En 1884, George Eastman met au point les surfaces sensibles souples. Le film en celluloïd, permettant de stocker plusieurs images dans le magasin de l’appareil photographique, supplante alors la plaque de verre. La diminution de la taille des appareils facilite la pratique de la prise de vue en (presque) tous lieux et toutes circonstances. Le Kodak sera le premier appareil photographique fabriqué par la compagnie Eastman permettant d'enregistrer une centaine d'images sur support souple. Une fois le film exposé, l'appareil était renvoyé à Rochester (NY) où le film était développé, les épreuves tirées, l'appareil rechargé, et le tout renvoyé à son propriétaire.[réf. nécessaire]

Invention de la photographie en couleur

Charles Cros et Louis Ducos du Hauron présentent le même jour à l'académie des sciences, le principe de la photographie en couleurs indirecte en trichromie soustractive en 1869, nécessitant l'exposition de 3 images correspondant aux trois couleurs primaires. Le procédé sera utilisé à grande échelle par Prokudin-Gorskii entre 1900 et 1918.Une étape importante fut ensuite le premier procédé véritablement pratique de photographie en couleur, l’« autochrome », inventé par les frères Louis et Auguste Lumière en 1903 et commercialisé à partir de 1907. L'utilisation est simple (une seule image) mais la sensibilité très faible oblige à des poses de quelques secondes et le format des plaques 9 × 12 impose des appareils lourds.

Il faudra attendre 1935 avec l'entrée en production de l'Agfacolor puis du Kodachrome pour que la photographie en couleur se répande avec des appareils compacts faciles à transporter (pellicule souple) mais toujours limitée à des diapositives. Les amateurs devront attendre l'Ektachrome vers 1946 pour disposer d'un traitement abordable bien que délicat. Le succès à grande échelle dépendait de la possibilité de tirage sur papier que permet le Kodacolor introduit en quantité limitée pendant la Seconde Guerre mondiale (1942) puis plus largement dans les années 1950 sous le format 135.

Les frères Lumière mettent au point l'autochrome

En 1904, Les frères Lumière mettent au point la première plaque couleur transparente : l'autochrome.
Les frères Lumière, inventeurs et industriels français. Louis Lumière, Besançon 1864 - Bandol 1948, et Auguste Lumière, Besançon 1862 - Lyon 1954.

Louis, aidé de son frère, inventa le Cinématographe, pour lequel il tourna ou fit tourner de nombreux films. On leur doit également la mise au point du premier procédé commercial de photographie en couleur, l'Autochrome (1904).
L'Autochrome est un procédé de plaques tramées en couleur dans lequel des grains d'amidon teinté par les trois couleurs primaires (rouge, vert et bleu) sont mélangés et saupoudrés sur une plaque de verre enduite d'une substance collante.

La plaque est ensuite recouverte d'une poudre noire, puis vernie et enduite d'une émulsion sensibilisée, et exposée dans la chambre noire. Après développement, l'image obtenue est en positif transparent.

Le film 35 mm et les appareils de petit format

En 1909, le Français Étienne Mollier eut l'idée d'utiliser le film cinématographique 35 mm dans son appareil photographique appelé le Cent-Vues, un appareil « de poche » qui prenait d'affilée cent vues 18/24 mm. Le Cent-Vues fut fabriqué en 1910, obtint la Médaille d'or du Concours Lépine et fut commercialisé aussitôt, à petite échelle et sans grand succès[3]. En 1913, Oskar Barnack construisit le premier prototype du Leica, qui fut commercialisé à partir de 1925 et fut le premier des appareils utilisant le format 24 x 36 mm, qui est resté le plus courant jusqu’à la fin du XXe siècle.

Invention du positif direct

Vers 1948, le docteur Edwin H. Land met au point le premier appareil à développement instantané, le Polaroïd, et en 1962, il adapte ce procédé à la couleur. Les premières versions du polaroïd comportaient un internégatif. Dans les années 1980 on améliore la technique pour se passer de l'internégatif et obtenir un véritable positif direct.

C'est pourtant une des premières recherches de la photographie sur laquelle le français Bayard travaillera autour de 1838-1839, simultanément aux recherches de Niépce et Daguerre sur le daguerréotype. On connaît de Bayard avec ce procédé le premier autoportrait (dit « l'Autoportrait en noyé ») de l'histoire de la photographie.

Une variante, la photographie en relief

La stéréoscopie ayant été inventée avant la photographie (Wheatstone, 1838), des photographes se sont mis dès 1841 à prendre des photos en relief, en deux poses successives avec un décalage entre les deux prises de vues. Cette prise de vues en deux temps n'étant pas possible pour les portraits, des appareils à deux objectifs ont été construits à cet effet dès les années 1850.

1ere vue aérienne de Nadar

En 1858, Nadar fut le premier à prendre une vue aérienne en ballon au dessus de Paris.
Nadar (Félix Tournachon) Paris 1820 - id. 1910, photographe et caricaturiste français.

Il photographia les célébrités de son époque (Le Panthéon de Nadar), réalisa les premières photographies aériennes prises en ballon (1858) et fut l'un des premiers utilisateurs de la lumière artificielle (en 1861, dans les catacombes).
En 1858, Nadar fut le premier à réussir une image un peu trouble de Paris: il était caché derrière un rideau sombre, il avait embarqué son appareil dans la nacelle d'un ballon captif manœuvré par les illustres frères Goddard. Il passa les deux années suivantes à promouvoir son propre aéronef "plus léger que l'air", mais son plus grand succès de photographie aérienne, il l'obtint par ses vues de l'Arc de Triomphe prises en 1868 avec un appareil à objectif multiples

1ere photo souterraine de Nadar

En 1861, on découvre la première photographie souterraine de Nadar prise dans les catacombes de Paris grâce à l'éclairage de batteries Bunsen.
Au moyen de piles de Bunsen et de réflecteurs, Nadar fit d'abord des portraits, puis, en 1861, il réussit à descendre dans la rue cet appareillage pour photographier les égouts et les catacombes.

Comme certaines poses duraient jusqu'à 18 minutes, il fut obligé de substituer des mannequins aux sujets réels, Nadar réussit à réaliser une centaine de scènes souterraines.

Par ces clichés des conduits et des tuyaux des égouts, des catacombes, Nadar démontrait ainsi que la photographie était en mesure de dévoiler une information visuelle comportant un grand nombre de données physiques.

photo publicitaire 1920

En 1920, aux Etats-Unis et en Europe, on commence à utiliser la photographie à des fins publicitaires.
Comment imaginer aujourd'hui un monde sans publicité ? Et surtout, comment imaginer la publicité sans l'apport décisif de la photographie ?

Les ressources de cette dernière n'ont pourtant pas été reconnues avant les années 20.

La réclame venait alors tout juste de naître, et dans un premier temps, nul ne songea à recourir à des procédés photographiques, au demeurant encore fort coûteux, pour vanter des produits ou des services.

D'ailleurs, nul n'imaginait alors que de simples photos pouvaient vanter l'attrait d'un produit ou allécher le consomateur.

Le photojournalisme 1924

En 1924 et 1925, apparait deux nouveaux petits appareils :

l'Ermanox et le Leica 35mm qui permirent de faire des clichés instantanés en lumière naturelle g1xmun02et ont ainsi ouvert de nouvelles perspectives pour le photojournalisme.
Les progrès du matériel et l'audience grandissante des journaux illustrés allaient modifier, dès 1925, la conception du reportage de guerre et du document en général. Parmi les inventions qui précipitèrent cette évolution, signalons celle de l'Ermanox, appareil allemand à la fois petit et léger, et surtout celle de la pellicule 35mm en rouleaux, lancée par Leica en 1925.

Ces nouveaux appareils permirent aux photographes de travailler plus discrètement, ce qui devait naturellement se sentir dans leurs clichés. La conception du photoreportage et de la photographie elle-même en fut radicalement modifiée


Le flash électronique

 

C'eml417txgst en 1925 qu'apparait le premier flash électronique.
L'éclairage au flash électronique constitua un important progrès à la fois pour les ia3goe43photographes amateurs et pour les professionnels.

Depuis les années 1860, on utilisait le magnésium, en fil, en ruban ou en poudre, selon différentes méthodes, mais la plupart d'entre elles furent abandonnées après l'invention de l'ampoule de flash par l'Allemand Paul Vierkötter en 1925. L'éclairage artificiel produit par un fil de magnésiim enfermé dans un  de verre etait plus  sur, sans fumée, et donnait moins de contrastes.

Le polaroid

C'est en 1948 aux Etats-Unis, qu'apparait le Polaroïd, invention d'Edwin Land qui donna une épreuve sépia en 60 secondes.
L'événement le plus marquant pour la photographie amateur fut l'apparition en 1948 d'un appareil et d'un film qrjz49c9qui permettaient la photographie instantanée en une seule opération.

L'appareil Polaroïd, conçu par Edwin H. Land, avait repris en fait une idée aussi ancienne que la photographie elle-même :
sensibiliser et développer le film à l'intérieur de l'appareil.

Un grand nombre d'inventions du XIXième siècle et du début du XXième avaient concrétisé0typgwjb ce concept.

Mais le Polaroïd fut le premier appareil à tirage instantané qui, dans sa première version, produisait un tirage positif monochrome seulement une minute après la prise du cliché.

Cela se faisait au moyen d'une petite enveloppe scellée, de révélateur fixateur et d'un réceptacle complexe pour l'image.

La photographie numérique

Les techniques informatiques permettent de transformer une image en une série de points, les pixels, dont les caractéristiques sont exprimées par des nombres. Grâce à cette numérisation, il est possible de reconstruire l'image à volonté sur des périphériques informatiques adaptés : on peut ainsi la traiter avec des logiciels de développement et retouche puis l'imprimer ou la diffuser au format numérique.

La difficulté rencontrée avec cette technologie, qui marque une rupture complète avec les procédés physico-chimiques initiaux, se situe dans la conception des capteurs électroniques de l'image qui remplacent le film. La résolution de ces derniers, le nombre de pixels d'une image qu'ils sont capables de générer et la sensibilité évoluent très rapidement. Le nombre de photosites par millimètre carré joue un rôle non négligeable, même si, comme pour les anciennes techniques, la qualité de l'image finale dépend de nombreux autres paramètres, comme la taille du capteur, en rapport avec le pouvoir séparateur des optiques employées. En utilisant une même optique, un capteur 12 millions de pixels plein format aura une bien meilleure qualité d'image qu'un capteur d'appareil compact numérique ayant le même nombre de pixels. En 1982, Sony dévoile le tout premier appareil photo numérique couleur.

Le premier appareil photo numérique date déjà de 1982. Il s'agissait du MAVICA de Sony. Equipé d'un capteur CCD de 279 300 éléments au silicium, l'appareil enregistrait les informations sur un mini disque magnétique (le Mavipak).

Les photographies ainsi obtenues pouvaient être soit visualisées sur un écran de télévision, soit transférées via la ligne téléphonique, soit reproduites sur papier grâce à une imprimante MAVIGRAPH.

La photographie numérique présente l'avantage de pouvoir retraiter et retoucher les images avec un ordinateur et un logiciel de traitement d'image. Ces logiciels permettent une grande liberté de création, allant de la simple correction de lumière, de contraste ou de couleur à la retouche et la composition d'images.

Les réseaux de communication, internet et les services communautaires de photo en ligne apparus depuis 2003, ont déployé les possibilités d'usage de la photo numérique. Avec les blogs et les services de partage de photographies comme Pikeo ou Flickr, les photographes internautes disposent d'outils et de services permettant de communiquer, d'échanger et d'exposer leurs photos numériques, autant dans la sphère privée ou communautaire qu'à l'échelle planétaire. Les services offrent des possibilités d'exploitation en ligne considérables : gestion des contacts, diaporamas, localisation géographique, etc. Les artistes et professionnels y trouvent leur compte avec des audiences importantes pouvant dépasser n'importe quel lieu d'exposition physique.

Les grandes marques d'appareils photo numériques sont : Canon, Fujifilm, Kodak, Leica, Nikon, Olympus, Panasonic, Pentax, Samsung, Sony

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